The Holiday sur le site officile de la comédie romantique
Films d'amour

The Holiday de Nancy Meyers

CHRONIQUE “The Holiday” :

 

The Holiday, réalisé par Nancy Meyers

Par Laeticia Arnould

Laetitia Arnould chroniqueuse

 

 

Disponible sur Amazon Prime Vidéo ou Netflix

Un feel-good movie chaleureux, pétillant et touchant

 

The Holiday de Nancy MeyersS’il est un film romantique à voir pendant les jours de pluie, entre amis, seul.e ou à deux, c’est bien celui-ci ! Personnellement, c’est avec un plaid, un chocolat chaud et des chaussettes en maille bouclette que je préfère le regarder, mais ça marche aussi à la faveur d’une fraîche soirée d’été !

Si le scénario est plutôt simple dans le fond, puisque le film pourrait se résumer à “deux jeunes femmes malheureuses en amour décident de fuir la gent masculine et d’échanger leur maison pendant les vacances”, ce petit bijou de romantisme se révèle par le jeu des acteurs, la bande son guillerette et douce signée Hans Zimmer, et aussi par le rythme des scènes (deux histoires en une) et l’hommage rendu au septième art.

 

 

The Holiday, un casting idéal !

 

Nous retrouvons un quatuor de chic, d’humour et de charme dans cette romcom qui donne définitivement le smile. Dans le rôle d’Iris, jeune femme de la campagne anglaise qui vit dans un (adorable) cottage avec les moutons pour voisins, Kate Winslet (Titanic, Les noces rebelles) est rayonnante, authentique et forte. Son personnage, au début si effacé, en souffrance, finit par briller et par s’affirmer. Cameron Diaz (Mary à tout prix, Charlie et ses drôles de dames) campe parfaitement le rôle d’Amanda, rock’n’roll girl propriétaire d’une sublime villa à Los Angeles, incapable de pleurer même quand elle est désespérée et aussi loufoque qu’attach(i)ante. C’est un plaisir de les suivre toutes deux, car elles sont aussi différentes que sympathiques.

Bien sûr, les rôles masculins ne sont pas en reste. Jack Black (L’amour extra-large, Jumanji: bienvenue dans la jungle) incarne Miles, un artiste sensible et bourré d’humour, avec beaucoup de fraîcheur et de simplicité. Enfin, Jude Law (A.I. Intelligence artificielle, Sherlock Holmes) est Graham, un jeune veuf mystérieux et un papa attentionné, qui se raconte entre subtilité et humour.

Ces quatres personnages forment des duos touchants, pour écrire deux histoires qui s’entremêlent, de scènes cocasses en dialogues pétillants et moments d’émotions.

Si le film repose beaucoup sur ce quatuor, sur la trahison d’un certain Jasper (Rufus Sewell) et sur la double romance, n’oublions pas l’importance d’Arthur, ce personnage magistralement interprété par Eli Wallach (Le bon, la brute et le truand, Le Cerveau) qui a un rôle parfait : il est modeste, élégant, joyeux et d’excellent conseil.

 

The Holiday, une romance, oui, mais pas que !

 

En plus d’être une jolie comédie romantique pleine de bons sentiments et servie par une bande son délicieuse, The Holiday, réalisé par Nancy Meyers (à qui l’on doit Ce que veulent les femmes, Le nouveau stagiaire…), est également un bel hommage au septième art. À travers le regard d’Arthur, l’ancien scénariste et Miles, le compositeur chevronné, mais aussi grâce à des dialogues avisés entre passionnés, une cérémonie mémorable et des visionnages de films en noir et blanc, on plonge avec délice dans l’histoire du cinéma et l’âge d’or d’Hollywood. Pour notre plus grand plaisir !

The Holiday de Nancy Meyers

En conclusion ?

 

Avec son rythme lent qui se savoure, des scènes qui raviront les cinéphiles, des idylles et des rencontres tout en délicatesse, ou encore les notions de partage, d’ouverture au monde et d’estime de soi, cette romcom est une véritable invitation à la détente et à la fantaisie

 

(mention spéciale à l’adorable border terrier, le toutou d’Iris !)

 

 

 

2 Comment

  1. Il a fallu que le premier film que je consulte, ce soit toi la chroniqueuse lol.

    Bien résumé. C’est un film tout en simplicité, touchant et drôle. L’ensemble du casting est attachant et les références au cinéma sont très appréciables (mention également au caméo de Dustin Hoffman au vidéo-club). Je trouve que malgré sa prévisibilité, il évite l’effet guimauve. Il a le mérite de faire passer un bon moment et cela suffit.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.